Un matin comme trop d’autres.
Réveil très peu tardif en ce moment au son du vrombissement des chants d’oiseaux que je trouve de plus en plus insupportables..
Sacrés oiseaux parisiens, je vous maudis !
Effet d'entraînement oblige, prince pas si charmant se réveille aussi très tôt et nous parlons du ………… …… mariage, oui c’est ça
D’ailleurs on ne parle plus que de cela lui et moi
Mariage par ci , coiffure par là, alliance, salle, rabbin, et tutti quanti !
Je me dirige vers la cuisine, prépare mon thé, d'un pas assez nonchalant (non, je ne suis pas bien réveillée, la douche y pourvoira), refusant encore de mettre mon cerveau en mode marche (surchauffe ?), je réveille mon fils, le presse pour l’accompagner à l’école.
Quand j’ai refermé la porte, en coup de vent, de peur de rater cet autobus à l’horaire improbable, j’étais déjà en retard
Mais j’oublie qu’on est Mercredi et qu’il n’y a pas d’école aujourd’hui.
Et non le mercredi les maitresses se reposent des enfants
Pas d’école, ça veut dire marche arrière, retour à la maison et perte de temps dans mon organisation
Sauvée par le centre aéré
« Mais si tu vas voir, mon chéri tu vas être bien, mieux qu’a la maison avec ton papa… »
Mes mots servent à lui transmettre quelque chose dont je ne suis pas certaine.
Il se laisse convaincre
Ouf ! !